Depuis plusieurs décennies, les paysans indiens Puruhaes du Chimborazo sont obligés de migrer de façon temporaire vers les villes pour faire vivre leurs familles restées dans les communautés. Trop peu rentable, l’agriculture était souvent délaissée.
Le développement d’un quinoa bio, une culture ancestrale jamais complètement abandonnée, mais très peu valorisée, donne un nouvel élan à l’économie locale.
Avec 2 hectares de quinoa, en rotation avec d’autres céréales et des cultures fourragères, les familles parviennent de nouveau à vivre de leur agriculture et à rester sur leur territoire.
Le développement d’un quinoa bio, une culture ancestrale jamais complètement abandonnée, mais très peu valorisée, donne un nouvel élan à l’économie locale.
Avec 2 hectares de quinoa, en rotation avec d’autres céréales et des cultures fourragères, les familles parviennent de nouveau à vivre de leur agriculture et à rester sur leur territoire.
Les alternatives économiques permettant de créer de l’emploi dans ce milieu rural et générer des revenus monétaires ne sont pas nombreuses. La culture et la commercialisation du quinoa en est une. Le quinoa est bien adapté au contexte. Il est résistant à la sécheresse et au climat rude des Andes, et fait l’objet d’un véritable savoir-faire ancestral. L’enjeu pour l’organisation de producteurs COPROBICH est de valoriser au mieux cette production. Son action consiste à améliorer la qualité du produit et le commercialiser au meilleur prix, notamment dans les conditions du commerce équitable. Le quinoa pourrait ainsi devenir un des moteurs de la lutte contre la pauvreté dans le Chimborazo.
Après plusieurs années de lutte et deux ans de construction, la coopérative COPROBICH a inauguré son usine de quinoa bio et équitable en avril 2014. Cette usine permet de réaliser localement toutes les activités de transformation du quinoa et des céréales (blé, orge) : approvisionnement, lavage, transformation et emballage pour le marché national et international.Les bénéfices pour les communautés et les familles de la coopérative sont nombreux : l’entrée sur le marché du commerce équitable a permis la fixation du prix du quinoa à un prix élevé et garanti, ce qui a limité l’exode rural qui menaçait la région. De plus, l’agriculture manuelle et respectueuse de l’environnement menée par les membres de la coopérative permet une meilleure qualité du quinoa.
Après plusieurs années de lutte et deux ans de construction, la coopérative COPROBICH a inauguré son usine de quinoa bio et équitable en avril 2014. Cette usine permet de réaliser localement toutes les activités de transformation du quinoa et des céréales (blé, orge) : approvisionnement, lavage, transformation et emballage pour le marché national et international.Les bénéfices pour les communautés et les familles de la coopérative sont nombreux : l’entrée sur le marché du commerce équitable a permis la fixation du prix du quinoa à un prix élevé et garanti, ce qui a limité l’exode rural qui menaçait la région. De plus, l’agriculture manuelle et respectueuse de l’environnement menée par les membres de la coopérative permet une meilleure qualité du quinoa.